Des insectes aux orchidées, des hommes aux poissons rouges, les espèces s'affichent, se fardent et se déguisent. Qu'il s'agisse de séduire ou d'intimider, l'apparence ne cesse d'imposer ses lois. Cette promenade biologique démonte les rouages de la simulation, allant jusqu'à prouver que le mensonge n'est même pas le propre de l'homme.
L'auteur s'intéresse au débat sur le sexe du cerveau, utilisant les thèses scientifiques et idéologiques pour mettre en exergue les similitudes entre celui de l'homme et celui de la femme.